CELLE QUI NE SAVAIT PLUS RÊVER
Autofiction d'une jeune femme d'aujourd'hui
Chaque soir, Lou plonge dans le cœur vibrant de la ville,
elle court avec sa meute,
se nourrit de plaisirs éphémères,
danse jusqu’au matin.
Elle brûle de retrouver la magie de son enfance,
ce goût de paradis qui s’est évanoui cette nuit-là,
sous les bombardements.
Mais un matin, tout ressurgit du fond d'une vieille valise...
Dans un savant mélange de contes, fiction et récit contemporain, Najoua Darwiche, artiste franco-libanaise nourrie au lait de la tradition orale, nous entraîne dans une quête sensible qui redonne sa place au rêve et à l’imaginaire.
Public : Adultes et ados à partir de 12 ans. Durée : 1h05
Fiche technique : sur demande
L'équipe
Ecriture et interprétation : Najoua Darwiche
Mise en scène : Anne Marcel et Najoua Darwiche
Collaboration à l'écriture : Anne Marcel et Jihad Darwiche
Création Lumière : Guillaume Suzenet et Cécile Gravot
Régie lumière et son : Patrick Touzard - Collaboration sonore : Clément Richard
ECRITURE CONTEMPORAINE
solo avec régie technique
Spectacle dédié à la recherche d’identité et au pouvoir de l’imaginaire, «Celle qui ne savait plus rêver» nous entraîne dans la vie d'une jeune femme perdue entre la nostalgie de son enfance, sa double culture franco-libanaise et son désir de réenchanter son quotidien dénué de rêve, d’imaginaire et de poésie.
A travers la vie de Lou, personnage auto-biographique, Najoua Darwiche, questionne notre construction intime.
La jeunesse, la drogue, le monde de la nuit et la douce naïveté de l'enfance sont autant de thèmes abordés par touche tout au long du récit.
A la fois autrice et interprète, Najoua Darwiche nous offre sa vision de la construction personnelle, en faisant le pari que c’est par les histoires racontées et l’appropriation de l’imaginaire offerts par les générations passées que l’on peut se construire et affronter sa vie.
Dans une narration qui mêle oralité traditionnelle et écriture contemporaine, l'artiste plonge dans son histoire pour répondre aux questions suivantes : «qu’est-ce qui me construit ?», «qu’est-ce que je porte en moi des générations précédentes ?», «quelle place pour le rêve et l’imaginaire dans nos vies d’adultes ?»
Co-production et soutiens : L'Organisation Internationale de la Francophonie, Théâtre des Carmes André Benedetto, le Nombril du Monde/Yannick Jaulin, La Cie du Cercle/Abbi Patrix, le Moulin du Marais, le Pays de l'Anjou Bleu, la Bouche d'Air et le Mur du Songe.