CONTES CLASSIQUES en TRIO
tout-terrains
LES DARWICHE CONTEURS
C’est l’histoire d’une famille amoureuse des contes.
Sur scène, ils sont trois : le père, Jihad, et ses deux filles, Layla et Najoua.
Mais la grand-mère n’est pas très loin. La grande conteuse de la famille, c’est elle.
Sa maison de pierres blanches au Sud-Liban a toujours été ouverte aux gens du village comme à l’étranger de passage. Elle sentait bon le café et la cardamome.
Au printemps, les voisins se rassemblaient sous le grenadier en fleurs pour écouter cette femme pétillante.
Puisant à cette source originelle, la parole circule de l’un à l’autre, fluide, rythmée. Certains contes avancent à plusieurs voix, comme une danse où les mots s’enchevêtrent, se donnent la main. Puis le fil des histoires suit l’instinct amoureux.
A travers les regards complices et la joie d’être ensemble, la filiation est toujours là. Comme un long conte à tiroirs qui cache d’autres contes encore, sur la liberté de choisir, sur l’amour et le partage.
Un spectacle singulier où complicité et tradition résonnent à l’unisson. Intemporel !
Distribution : Jihad, Layla et Najoua Darwiche
Public : Tout public à partir de 12 ans. Durée : 1h30
Peut se jouer en salle ou en plein air.
Fiche technique sur demande
"Ce sont pratiquement trois générations de Darwiche qui sont présentes sur scène car dès le début du spectacle, Jihad Darwiche évoque sa mère (la grand-mère de Layla et Najoua) à la mémoire de laquelle le spectacle est dédié. Cette femme « à la bouche fleurie » qui ne savait ni lire ni écrire n’avait pas son pareil pour raconter des histoires… et pour faire pousser les plantes, qui, d’après elle, étaient des remèdes efficaces contre les problèmes, si bien que sa maison au Sud-Liban était remplie d’arbres et de tous types de végétations, et de récits qu’elle invitait famille et voisins à partager sous le grand grenadier du jardin autour d’un café parfumé à la cardamome. C’est elle qui a transmis à son fils puis à ses petites-filles une partie des histoires orientales qu’ils racontent sur scène."
Cristina Marino - Le Monde